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saint ange orphar venez délivrer mon fils dans la consommation et la vente de la drogue de tout mal délivré mo
Par Anonyme, le 24.06.2025
bonsoir,
le ciel bénisse les publications faîtes pour sa gloire!
j'aim e particulièrem ent bien st patrick.
Par laportetroite, le 20.08.2024
sainte vierge marie daigne me oindre par ta flamme d'amour pour que ma bouche soit écoutée pour sauver les âme
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oh oh oh sainte vierge marie je suis résolue à prier et jeûner tous ces jours mais j'ai l'impression que je su
Par Anonyme, le 09.04.2024
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Date de création : 01.01.2019
Dernière mise à jour :
07.10.2025
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Le jour auquel l'Arche véritable du Testament devait être placée dans le temple de la Jérusalem céleste s'approchait. Trois jours auparavant, les apôtres et les disciples furent réunis dans le cénacle par le ministère des anges. Les forces corporelles de la grande Reine cédaient déjà un peu à la violence de l'amour Divin, parce que d'autant plus elle se rapprochait du Souverain Bien, d'autant plus grandement qu'elle participait à la qualité de l'amour qui est Dieu même. La grande Reine vint à la porte de l'oratoire, recevoir le Vicaire de Jésus-Christ, saint Pierre, et s'étant mise à genoux, elle lui demanda sa bénédiction, rendant grâce au Très-Haut de cette consolation, elle en fit de même avec tous les autres apôtres. Elle se retira dans son oratoire et saint Pierre fit un discours aux disciples dans le cénacle, ils entrèrent tous dans l'oratoire pour l'assister, ils la trouvèrent à genoux sur un petit lit dont la divine Mère se servait toujours pour se coucher lorsqu'elle prenait un peu de repos. Ils la virent toute éclatante de beauté, revêtue de splendeurs célestes, entourée de ses mille anges qui l'assistaient sous une forme visible. L'état naturel de son très saint corps virginal et ses traits étaient aussi ceux qu'elle avait lorsqu'elle était âgée de trente-trois ans, elle n'avait ni rides dans ses mains et sur son visage, elle ne fut ni faible, ni plus décharnée avec les années, comme il arrive à tous les enfants d'Adam : ce fut un privilège spécial de la très sainte Vierge qui correspondait au privilège de son âme très sainte, afin qu'il parut dériver de celui d'avoir été exempte de la faute d'Adam, dont les effets ne se firent sentir en aucune manière dans son très saint corps, de même qu'ils n'avaient jamais eu accès dans son âme très pure.
Saint Pierre et saint Jean, se mirent à genoux au chevet du lit, et les autres tout autour suivant leur rang. La grande Reine les regarda tous avec sa modestie et sa pudeur ordinaire et elle leur dit : -Mes chers enfants, permettez à votre servante de parler. Et saint Pierre répondit que tous l'écouteraient volontiers comme elle le désirait, mais qu'elle s'assit sur le lit comme Maîtresse et Reine de tous. Elle obéit aussitôt et elle les pria de lui donner tous la bénédiction, ce qu'ils firent pour lui obéir, en versant des larmes en abondance à la vue d'une si profonde humilité unie à une si incomparable grandeur. Elle se leva de son lit et se mit à genoux, par terre, en présence de saint Pierre, en disant: -mon seigneur, je vous supplie comme pasteur universel de me donner en votre nom et au nom de toute l'Eglise dont vous êtes le chef, votre sainte bénédiction et de pardonner à votre servante de vous avoir si peu servi dans le temps de ma vie car je vais aller de celle-ci à celle qui est éternelle, et si vous y consentez, permettez que Jean dispose de mes vêtements qui sont deux tuniques pour les donner à deux pauvres filles qui m'ont plusieurs fois rendu service par leur charité. Après ces paroles, elle se prosterna à terre et baisa les pieds de saint Pierre avec une abondance de larmes dont ils furent tous attendris. Ensuite, elle se mit aux pieds de saint Jean, en disant : -Jean, mon fils et mon seigneur, pardonnez-moi de n'avoir pas exercé envers vous mes devoirs de Mère, comme je devais et comme le Seigneur me l'avait ordonné, je vous remercie profondément de la bonté avec laquelle vous m'avez assistée, comme mon fils; et vous, bénissez-moi pour parvenir à la possession de mon Bien. Elle continua à prendre congé des apôtres et de quelques uns des disciples, ensuite de tous les autres. Elle se leva et parla ainsi à tous les assistants : -mes chers enfants, et mes seigneurs, je vous ai toujours conservés au-dedans de mon âme, et vous ai aimés tendrement avec la charité qui m'a été commandée par mon très saint Fils que j'ai toujours considéré en vous tous. Pour accomplir sa sainte volonté, je pars pour les demeures célestes, d'où je vous promets que comme Mère, vous me serez présents dans la claire lumière de la Divinité. Je vous recommande l'Église ma mère, l'exaltation du saint nom de Dieu et la propagation de sa loi évangélique; l'amour des paroles de mon très saint Fils, la mémoire de sa vie, de sa passion et de sa mort. Aimez la sainte Église, et aimez-vous les uns les autres de tout votrecœur; et à vous Pierre, Pontife saint, je vous recommande mon fils Jean et tous les autres.
Elle cessa de parler, et ses paroles, comme des flèches enflammées pénétraient et attendrissaient tous lescœurs, et versant un torrent de larmes, ils se jetèrent tous par terre avec des gémissements et des sanglots tels qu'ils attendrirent au suprême degré la miséricordieuse Mère, qui ne pouvait résister à ces plaintes si amères de ses enfants bien-aimés. Après quelque temps, elle les pria de prier tous en silence pour elle et avec elle. Au milieu de ce silence, le Verbe incarné, descendit du ciel, sur un trône de gloire ineffable, accompagné de tous les saints et d'un nombre infini d'anges et le cénacle fut tout rempli de lumière. La chère Mère lui baisa les pieds, et l'adora, elle fit le dernier acte d'humilité et de culte dans sa vie mortelle par lequel elle surpassa tous les hommes ensemble, elle se recueillit et se confondit avec la poussière, quoiqu'elle fût Mère de Dieu. Le divin Fils la bénit et en présence de cette assemblée de saints, il lui dit: -chère Mère, il est déjà temps de passer pour toujours au paradis, où un trône vous est préparé à ma droite; puisque je vous ai fait, comme ma Mère, entrer dans le monde, pure et exempte de toute tache de péché, ainsi pour en sortir, la mort n'a aucun droit de vous toucher; si donc, vous ne voulez pas passer par elle à la vie bienheureuse, venez avec moi sans mourir, participer à la gloire que vous avez déjà mérité. La Mère, avec un visage joyeux et la tête inclinée, répondit: -Mon Fils et mon Seigneur, je vous demande que votre Mère et votre servante entre dans la vie éternelle, par la porte commune des enfants d'Adam et comme vous, Dieu véritable. Le Seigneur approuva ce sacrifice d'humilité, les anges commencèrent à chanter quelques versets des cantiques; cette harmonie était entendue de tous, et non seulement l'oratoire mais tout le cénacle fut rempli d'une admirable splendeur, de sorte qu'à cette merveille, il accourut de la ville un si grand nombre de personnes, que le passage des rues en était empêché, le Seigneur permettant qu'il y eût plusieurs témoins de cette grande merveille et de la gloire de sa Mère.
Lorsque les anges commencèrent à chanter ce premier verset: -Venez ma colombe, elle se coucha sur le lit et la tunique resta comme collée à son corps sacré, les mains jointes et les yeux fixes sur son divin Fils, elle était tout embrasée des feux du Divin Amour. Lorsque les anges arrivèrent en chantant à ce verset: -Surge, propera, amica mea, elle dit à son Divin Fils les mêmes paroles qu'il avait prononcées, lorsqu'il expira sur la croix: -Seigneur je remets mon âme entre vos mains. Et ayant fermée ses yeux très purs, la sainte Vierge expira. De sorte que la maladie, qui lui ôta la vie, fut l'amour, sans aucune autre cause, ni maladie d'aucune espèce; et cela se fit ainsi : le pouvoir divin suspendit le concours miraculeux, par lequel jusqu'alors elle avait conservé les forces naturelles, pour ne pas être consumée par l'ardeur surnaturelle et le feu sensible qu'entretenait en elle l'Amour Divin mais le miracle ayant cessé, le feu de l'amour produisit son effet, en consumant l'humide radical ducœur et ainsi la vie naturelle du corps eut sa fin. L'âme très sainte et très pure passa au trône et à la droite du Fils, environnée d'une gloire immense, et aussitôt les heureux assistants étonnés, commencèrent à entendre que la musique des anges s'éloignait déjà à travers la région de l'air. Le très saint corps virginal, qui avait été le temple et le sanctuaire de l'Esprit-Saint, resta tout éclatant de lumière et de splendeur, et il répandait un parfum céleste dont les assistants étaient intérieurement et extérieurement réjouis. Les mille anges gardiens de la grande Reine restèrent pour garder l'inestimable trésor. Les apôtres et les disciples furent comme dans le ravissement pendant quelques temps, au milieu des larmes de deuil et de joie, ensuite ils chantèrent des hymnes et des cantiques de louange à la Divine Mère. Cette glorieuse mort eut lieu un vendredi, trois heures avant le coucher du soleil, le treize du mois d'août. La sainte Vierge était âgée de soixante-dix ans moins vingt-six jours. Voici l'exacte supputation des années de sa vie. A la naissance du Christ, la Vierge Mère avait quinze ans, trois mois et dix-sept jours. A sa passion et à sa mort, elle avait quarante-huit ans, six mois et dix-sept jours. Il faut ajouter à ceux-ci, vingt-un ans quatre mois et dix-neuf jours, qu'elle survécût à son Fils, ce qui donne soixante-dix ans, moins vingt-six jours.
Un grand nombre de miracles se firent à cette précieuse mort de la grande Reine de l'univers: le soleil s'éclipsa pendant quelques heures, il vint au cénacle un grand nombre d'oiseaux de diverses espèces, et par un chant plaintif comme un murmure, ils déploraient à leur manière la mort de la grande Reine, et ils donnaient de tels signes de douleur, qu'ils firent fondre en larmes tout ceux qui les entendirent. Toute la ville s'émut, et comme saisie d'étonnement, tous confessaient lé pouvoir du Tout-Puissant. On amena les malades, qui furent tous guéris aussitôt. Toutes les âmes du purgatoire furent délivrées et allèrent au ciel accompagner leur miséricordieuse Mère. Au même instant que mourut la Vierge Mère, il mourut aussi un homme et deux femmes près du cénacle mais en état de péché mortel. Lorsque leur cause arriva au tribunal de Jésus-Christ, la miséricordieuse Mère demanda grâce et miséricorde pour eux, ils furent rendus à la vie et ayant fait pénitence de leurs péchés, ils persévérèrent dans la grâce et se sauvèrent. Cependant, les apôtres avec les disciples versant toujours des larmes, pensèrent à lui donner la sépulture, dans la vallée de Josaphat, où était un sépulcre neuf, préparé par la divine Providence; et comme son Divin Fils avait été embaumé, ils préparèrent des onguents précieux, selon la coutume des juifs, pour en faire de même à l'égard du corps sacré de la Divine Mère. On chargea de ce soin les deux pieuses filles, qui avaient hérité les deux tuniques de la grande Reine. Ces deux pieuses filles étant entrées avec le baume et un linceul neuf pour envelopper le sacré corps, la grande splendeur qui en sortait les arrêta et éblouit leurs yeux, de sorte qu'elles n'eurent pas le courage d'approcher, car elles ne le voyaient pas. Elles sortirent toutes tremblantes et allèrent en donner avis aux apôtres, qui comprirent que ce corps très pur, qui était l'Arche Sacrée du nouveau testament ne devait pas être touché ni remué même par des vierges. Saint Pierre et saint Jean entrèrent, ils virent la splendeur et entendirent l'harmonie divine des anges, qui chantaient: -Dieu vous salue, Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous; et d'autres répondaient: -Vierge avant l'enfantement, Vierge dans l'enfantement et Vierge après l'enfantement. Les apôtres, ravis d'admiration à ces merveilles, se mirent à genoux, et ils entendirent une voix qui dit: -Qu'on ne découvre ni ne touche le Corps Sacré. Ils préparèrent un cercueil et la splendeur céleste ayant un peu diminué, les deux apôtres s'approchèrent, ils attachèrent avec une vénération admirable la tunique sur les pieds divins sans les toucher, et aussitôt ils enlevèrent l'inestimable trésor et le placèrent dans la même position dans le cercueil qu'ils avaient mis sur le lit. Ils éprouvèrent que le corps virginal était très léger car ils ne ressentirent autre chose que le poids des vêtements, et celui-ci même à peine. Lorsque le corps fut placé dans le cercueil, la splendeur diminua encore davantage, et tous purent voir avec facilité la beauté plus qu'angélique de son visage virginal et de ses mains, le Seigneur le permettant ainsi pour la consolation de tous les fidèles. On mit autour un grand nombre de cierges, qui, quoique allumés pendant trois jours, ne se consumèrent point. Le Tout-Puissant voulut encore que la sépulture et les prodiges, qui l'accompagnèrent, fussent connus de tous, c'est pourquoi il toucha tous les habitants de Jérusalem, et par l'impulsion d'en haut, tous les juifs et gentils accoururent à cette merveille car tous les malades étaient guéris dès qu'ils avaient à peine vu le Sacré Corps, les obsédés étaient délivrés, les affligés étaient consolés et tous éprouvaient une grande consolation intérieure.
Les apôtres mirent sur leurs épaules le cercueil où était le Propitiatoire des Divines Faveurs, ils partirent du cénacle, rangés en procession, et traversant toute la ville, il se dirigèrent vers la vallée de Josaphat, suivis d'une multitude immense, qui exaltait les grandes qualités et les rares vertus de la glorieuse défunte. C'était la procession visible. Parlons d'une autre, plus belle et plus brillante mais qui n'était pas visible à tous. Au premier rang, étaient les mille anges gardiens de la Reine, continuant la musique céleste, qui était entendue par les apôtres, les disciples et plusieurs autres fidèles, elle dura trois jours sans interruption avec une grande douceur et suavité. Il descendit aussi du ciel plusieurs millions d'anges et des légions des esprits les plus élevés, ainsi que les anciens pères et prophètes, et en particulier saint Joachim, sainte Anne, saint Joseph, sainte Elisabeth et Jean-Baptiste, et les autres saints, envoyés du haut du ciel, pour assister à la grande cérémonie. La magnifique procession, visible et invisible, formée des habitants dé la terre et de ceux du ciel, s'avançait à pas lents, tous les assistants versaient des larmes de joie et étaient vivement touchés car dans ce jour, les trésors de la Divine Miséricorde étaient ouverts et non seulement tous les malades de Jérusalem furent guéris, tous les énergumènes délivrés, ceux qui étaient dans la tribulation consolés et fortifiés, mais encore un grand nombre d'aveugles gentils et de juifs obstinés furent éclairés et confessèrent la vérité de la foi évangélique, parvinrent à la connaissance de Jésus-Christ, le confessèrent à haute voix, en versant des larmes pour le vrai Dieu et Rédempteur du monde et demandèrent le saint baptême. De plus, les apôtres, en portant le corps très pur, éprouvèrent des effets admirables de la Divine Lumière et une ineffable consolation intérieure. Et toute cette affluence de personnes diverses, par l'odeur qui sortait du Corps Sacré, par la musique angélique qu'ils entendaient, par les miracles opérés qu'ils voyaient de leurs propres yeux, étaient dans l'étonnement et tous attendris, ils se frappaient la poitrine avec une grande componction et reconnaissaient la défunte pour véritable Mère de Dieu et Dieu, pour grand et tout- puissant dans cette créature.
Ils arrivèrent enfin au bienheureux tombeau dans la vallée de Josaphat, en chantant des hymnes de louange. Saint Pierre et saint Jean prirent le dépôt sacré et le mirent dans le tombeau, ils le couvrirent d'un linge blanc et très fin, avec une grande vénération et fermèrent le sépulcre. Les saints retournèrent au ciel et les mille anges gardiens continuèrent la céleste harmonie. Tout le peuple revint à la ville, les apôtres et les disciples retournèrent au cénacle. Pendant une année entière, une agréable odeur se fit sentir dans ce sanctuaire vénérable. Les apôtres réglèrent que deux à deux, et tour à tour, ils veilleraient au saint sépulcre de leur Maîtresse, pendant tout le temps qu'on y entendrait la musique céleste, et que les autres s'appliqueraient à catéchiser, à instruire et à baptiser les convertis. Saint Pierre et saint Jean ne s'éloignèrent jamais et les autres venaient le visiter de jour et de nuit. Il ne faut pas passer sous silence le concours des créatures privées de raison: les oiseaux chantaient sur le tombeau avec des voix plaintives, les bêtes sorties des forêts témoignaient par des mouvements plaintifs leur douleur de la grande perte de la Maîtresse de l'univers.
SOURCE: LA VIE DIVINE DE LA TRES SAINTE VIERGE MARIE,
de Marie d'Agreda.