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Date de création : 01.01.2019
Dernière mise à jour :
19.11.2025
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Aux premiers temps de l’Eglise, les fidèles d’une même contrée venaient en foule le jour de la fête d’un saint, pour avoir le bonheur de participer aux grâces que Dieu accordait en ce jour. L’on commençait l’office la veille. Le soir et la nuit, on priait sur le tombeau du saint. On entendait la parole de Dieu. On chantait des hymnes et des cantiques en son honneur. Après avoir passé la nuit si pieusement, on entendait la messe, où tous les assistants avaient le bonheur de communier. Ensuite, chacun se retirait en louant Dieu des victoires qu’il avait fait remporter au saint, et le remerciait des grâces qu’il avait accordées par son intercession. D’après cela, mes frères, qui pourrait douter que Dieu ne répandît ses grâces avec abondance sur cette réunion de fidèles, et que les saints eux-mêmes ne fussent heureux de les protéger ? Voilà la manière dont autrefois se célébraient les fêtes des saints patrons.
Que pensez-vous de cela ? Est-ce bien ainsi que nous les célébrons maintenant ? Hélas ! Si les premiers chrétiens reparaissaient sur la terre, ne nous diraient-ils pas que nos fêtes ne diffèrent en rien de celles des païens ? N’est-ce pas ordinairement en ces saints jours que Dieu est le plus offensé ? Ne semblons-nous pas réunir nos biens et nos forces pour multiplier le péché presque à l’infini ? De quoi nous occupons-nous la veille et même plusieurs jours d’avance ? N’est-ce pas à faire des dépenses folles et superflues ? Et pendant ce temps-là, des pauvres meurent de faim, et nos péchés appellent sur nous la colère de Dieu, à ce point que l’éternité ne suffira pas à y satisfaire. Vous devriez passer la nuit à gémir, en considérant combien peu vous avez imité votre saint Patron. Et cependant, vous consacrez ce temps-là à préparer tout ce qui pourra flatter votre gourmandise ! Ne dirait-on pas que ce jour est un jour de débauche ? Les parents et les amis viennent-ils, comme autrefois, pour avoir le bonheur de participer aux grâces que Dieu nous accorde par l’intercession du saint Patron ? Ils viennent, mais pour passer ce jour presque tout entier à table. Autrefois, les saints offices étaient bien plus longs qu’aujourd’hui, et pourtant, ils semblaient toujours trop courts. Maintenant, l’on voit même des pères de famille qui, pendant les offices, sont à table à se remplir le corps de viandes et de vin. Les premiers chrétiens s’invitaient mutuellement, afin de multiplier leurs bonnes œuvres et leurs prières. Aujourd’hui, ne semble t-il pas qu’on s’invite pour multiplier les péchés par les orgies, les excès qui se font dans le boire et le manger ? Pense-t-on bien que Dieu demandera compte même d’un centime dépensé mal à propos ? Ne semble-t-il pas que nous faisons la fête que pour outrager notre saint Patron, et multiplier notre ingratitude ?
Regardons de plus près, mes frères, et nous reconnaîtrons que nous sommes loin d’imiter celui que Dieu nous a donné pour modèle. Il a passé sa vie dans la pénitence et les larmes. Il est mort dans les tourments. Or je suis sûr qu’il y a des paroisses où il se commet plus de péchés ces jours-là que dans toute l’année. Le Seigneur disait aux Juifs que leurs fêtes lui étaient en abomination, et qu’il prendrait l’ordure de leurs fêtes pour la leur jeter au visage. Il veut nous faire ainsi comprendre combien il est offensé en ces jours qui devraient se passer dans les larmes et la prière. Nous lisons dans l’Evangile que Jésus Christ est venu sur la terre pour allumer dans les âmes le feu de l’amour divin. Mais nous pouvons croire que le démon roule aussi sur la terre pour allumer le feu impur dans le cœur des chrétiens, et ce qu’il provoque avec le plus de fureur, ce sont les bals et les danses. J’ai longtemps balancé, si je vous parlerais d’une manière si difficile à faire comprendre, et si peu méditée par les chrétiens de nos jours, aveuglés par leurs passions. Si la foi n’était pas éteinte dans vos cœurs, d’un seul coup d’œil, vous comprendriez la grandeur de l’abîme où vous vous précipitez, en vous abandonnant avec tant de fureur à ces malheureux plaisirs. Mais vous me direz : « Vouloir nous parler de la danse et du mal que l’on y fait, c’est perdre son temps. Nous n’en ferons ni plus ni moins. » Je le crois vraiment puisque Tertullien assure que plusieurs refusaient de se faire chrétiens, plutôt que de se priver de tels plaisirs.