Thèmes

douleurs elisabeth sainte marie vierge sept douleurs tres sainte saint

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· LA CITE MYSTIQUE DE DIEU TOME 1 (207)
· ELIZABETH KINDELMANN (30)
· VIE DIVINE DE LA SAINTE VIERGE MARIE (47)
· L'IMITATION DE JESUS-CHRIST (48)
· TRESOR DE LUISA PICCARRETA POUR TOUS (33)
· NOTRE DAME DES SEPT DOULEURS (31)
· MESSAGES DECEMBRE NOTRE DAME DES ROSES (22)
· MESSAGES MAI NOTRE DAME DES ROSES (32)
· LES SEPT SAINTS ARCHANGES (8)
· MESSAGES MARS NOTRE DAME DES ROSES (22)

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· LES PROMESSES DE LA FLAMME D'AMOUR
· LE CHAPELET DU TRES PRECIEUX SANG DE JESUS CHRIST
· HISTOIRE DE ROSA QUATTRINI, MAMMA ROSA
· PRIERE AUTHENTIQUE A SAINT MICHEL ARCHANGE
· LA CITE MYSTIQUE DE DIEU - CHAPITRE 12 - LIVRE 2

· LA CITE MYSTIQUE DE DIEU - CHAPITRE 21 - TOME 2
· Prière de Jésus pour aveugler satan
· LE PRINCE ANGELIQUE ORPHAR
· PREMIER MYSTERE JOYEUX : L'ANNONCIATION
· INSTRUCTION QUE LA TRES SAINTE VIERGE ME DONNA
· LES SEPT SAINTS ARCHANGES
· MESSAGE DU 9 SEPTEMBRE 1966 DE NOTRE DAME DES ROSES
· LES PROMESSES DE JESUS ATTACHEES A LA COURONNE D'EPINES
· INSTRUCTION QUE NOTRE AUGUSTE REINE ME DONNA
· Biographie d'Elisabeth KINDELMANN

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 01.01.2019
Dernière mise à jour : 19.11.2025
902 articles


PEINES DE LA TRES SAINTE VIERGE POUR ALLER VISITER ELISABETH

Publié le 14/10/2021 à 06:05 par flammedamour Tags : elisabeth sainte marie vierge sept douleurs tres sainte
PEINES DE LA TRES SAINTE VIERGE POUR ALLER VISITER ELISABETH

PIEUSES CONSIDERATIONS DES DOULEURS DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE PENDANT SA VIE MORTELLE POUR TOUS LES JOURS DU MOIS

 

TROISIÈME CONSIDÉRATION

Peines du voyage de la Très Sainte Vierge pour aller visiter Sainte Elizabeth.

 

Le jour de l’Annonciation, à peine la Très Sainte Vierge eut-elle appris de l’Archange Gabriel qu’Elizabeth, sa parente, était devenue féconde par miracle, et malgré sa stérilité, qu’elle se mit en chemin pour la visiter. Elle gravit donc les montagnes de la Judée, où se trouvait la ville d’Hébron, qui était du domaine des prêtres, et où demeurait Zacharie. Il y avait au moins trente lieues de distance. Que n’eut pas à souffrir la Très Sainte Vierge pour les parcourir ? Qu’on se rappelle son âge tendre, sa vie retirée, soit au temple pour prier, soit dans son humble demeure ; toujours dans la ferveur, dans le silence et dans la contemplation ; que n’eut-elle pas à endurer en quittant d’aussi saintes habitudes pour parcourir pendant plusieurs jours, des chemins déserts, rudes et montueux ? Ajoutons qu’elle fit ce voyage à la hâte : sa pudeur virginale, dit S.Ambroise, ne lui permettant pas de demeurer longtemps en public ; ou bien, selon Origène, parce que l’enfant Jésus qu’elle portait dans son sein virginal, la pressait d’arriver pour sanctifier au plus tôt Jean-Baptiste. Que de peines pour cette Vierge ! Que de sueurs ! Combien de fois, succombant à la fatigue du voyage, s’assit-elle sur une pierre ou sur l’herbe, pour prendre un peu de repos et respirer ? Oh ! Vierge sainte, si jeune encore, vous commencez à souffrir pour les hommes ; vous supportez tant de fatigues, dans l’impatience de répandre sur le Précurseur et sur sa mère les trésors de votre ardente charité ! Arrivée à Hébron, la Très Sainte Vierge, suivant l’opinion commune des Docteurs, demeura dans la maison d’Elizabeth jusqu’à la naissance de S.Jean, à peu près trois mois. Dès que cet heureux enfant fut né, au sentiment de S.Pierre d’Amiens, la très Sainte Vierge le tenait dans ses bras et le pressait tendrement sur son sein virginal, pour le sanctifier toujours davantage et le rendre le digne précurseur de son divin Fils. Enfin, sa mission finie, Marie reprit le chemin de Nazareth vers la fin de juin. Mais la saison avancée dut rendre ce second voyage plus pénible que le premier. Elle eut à supporter les ardeurs du soleil brûlant de la Palestine, une soif ardente, et des fatigues qu’augmentait encore sa grossesse avancée.

 

COLLOQUE

Je ne sais, Vierge sainte, ce que je dois le plus admirer en vous dans cette visite, ou l’héroïsme de votre charité, ou la profondeur de votre humilité, ou le prodige de votre patience. Votre charité, lorsque pour obéir au Verbe divin, vous précipitiez votre marche afin de purifier plus tôt Jean-Baptiste de la tâche originelle ; votre humilité, lorsque déjà proclamée Mère de Dieu et reine de l’Univers, vous ne dédaignâtes pas de servir votre parente Élisabeth ; enfin, votre patience, lorsque surmontant les répugnances de votre pudeur virginale et de votre complexion délicate, vous fîtes à pied et enceinte du verbe incarné, un voyage si pénible et si long ! Ah ! Charitable Mère, visitez, je vous en conjure, ma pauvre âme. Otez-en tout ce qui déplaît à vos yeux si purs, et à ceux de votre divin Fils ; disposez-la, par votre puissant secours, à suivre vos traces admirables dans la charité, l’humilité et la patience.

SOUPIR A MARIE

Sainte et tendre Vierge, vous allez toutes seule, par des chemins longs et rudes, procurer la vie de la grâce à Jean-Baptiste avant sa naissance.

 

EXEMPLE

une des pratiques de l’Ordre des Pères Servites, en l’honneur de Notre Dame des Douleurs, est de porter solennellement sa statue en procession, dans les jours plus particulièrement destinés à son culte. Maintes fois, dans ces processions, la Très Sainte Vierge s’est plu à opérer de grands miracles ; à Grenade, elle guérit plusieurs paralytiques ; à Bologne, elle fit cesser la peste ; à Capo-d’Istria, elle éteignit un incendie ; à Vienne et à Florence, elle obtint du seigneur un temps favorable ; à Asti, ville du Piémont, pendant plusieurs années on remarqua, un peu avant le départ de la procession du dimanche des Rameaux, une étoile qui brillait en plein jour sur l’Église de Ste. Catherine des Pères Servites ; cette étoile suivait la direction de la Procession, comme pour faire cortège à la statue de Notre Dame des Douleurs, et la procession finie, elle disparaissait. (Act. Auth. Cur. Episc. Asti)

 

PRATIQUE

Visiter une église ou une image de Notre Dame des Douleurs.

SOURCE: Extrait du manuel de la Confrérie de Notre Dame des sept Douleurs, par M.ALLIBERT.