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Date de création : 01.01.2019
Dernière mise à jour :
14.11.2025
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Formons en chaque cité, en chaque village et nation, tellement d’Horloges Vivantes dans lesquelles on médite et vit les 24 Heures de la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ, pour tenir compagnie à Jésus avec notre amour, avec notre réparation et avec notre gratitude, à Jésus, qui n’est pas aimé par ses fils comme Il le mérite, qui L’offensent continuellement et qui Le crucifient encore une fois dans leurs cœurs, fermant la porte à la Grâce, à la Divine Volonté.
Lettre de la S.D. Luisa Picarreta à Saint Hannibal Marie Di Francia.
PADRE PIO ET LUISA PICCARRETA
Dans l' édition de juin 2000 de la publication "Letters of Gold" de Thomas Fahy, des détails intéressants concernant Padre Pio et les Heures de la Passion de Luisa Piccarreta sont mentionnés. Nous citons ci-dessous quelques lignes de ce document .
C'est M. Fahy qui parle :
"Pendant que nous étions à Rome avec notre groupe de pèlerins, le Père Iannuzzi, Hugh Owen, Steve Patton et moi-même, eûmes une très réjouissante rencontre de trois heures avec le postulateur de la cause de canonisation du bienheureux Annibale Di Francia, saint et savant confesseur qu'eût Luisa pendant 17 ans et censeur nommé par l'Église pour ses écrits.
On nous accorda un traitement royal en nous fournissant des photocopies de plusieurs textes intéressants tirés des archives et relatifs au bienheureux Annibale. Un de ceux-ci était une lettre écrite par le bienheureux le 21 mars 1921 à une religieuse.
Dans cette lettre, il parle du livre des Heures de la Passion de Luisa. On y lit : "Le Seigneur a béni ce livre parce qu'il suggère beaucoup de réparations pour les péchés actuels, ce qui est de nature à nous sauver de plusieurs fléaux. Padre Pio est en amour avec ce livre et le recommande à tous. Il y en a beaucoup qui le veulent."
Cette découverte dans une lettre du bienheureux Annibale, écrite en 1921 et parlant de l'attitude de Padre Pio au regard des Heures de la Passion, donne beaucoup de crédit à l'anecdote affirmant que le jour où Padre Pio reçut les stigmates visibles dans le chœur de son monastère, le 20 septembre 1918, il tomba par terre et laissa tomber sur le plancher un livre, lequel était les Heures de la Passion de Luisa.
Une note de M. Fahy, qui fait suite, affirme que, même si le Bienheureux Padre Pio n'a jamais rencontré Luisa en personne, son estime pour elle est un fait bien documenté.
Par exemple, le tout premier groupe de prière basé sur les écrits de Luisa (autre que le groupe de jeunes femmes qui se réunissaient souvent dans la chambre de Luisa) fut formé à San Giovanni Rotondo avec la bénédiction de Padre Pio et sous la direction de son grand ami et photographe Fredetica Abresch. Padre Pio indiqua lui-même les personnes qu'il estimait devoir faire partie de ce groupe.
INTRODUCTION
Avec toute la réserve nécessaire, dans la soumission la plus parfaite au jugement de la Sainte Église, sans faire appel à une autre foi que la foi humaine et conformément au décret du Pape Urbain VIII, nous transcrivons ici des révélations privées que Notre-Seigneur Jésus-Christ a faites à la servante de Dieu Luisa Piccarreta, à qui il inspira cet ouvrage.
Citons ici une lettre envoyée par la pieuse auteure au Rév. Canon Di Francia :
"Mon très Révérend Père, enfin, voici que je vous remets le texte des Heures de la Passion. Je l'ai écrit tout à la gloire de Notre-Seigneur. Je joins à la présente un autre feuillet qui mentionne l' affection toute particulière et les belles promesses de Jésus envers ceux qui pratiqueront ces Heures.
Je crois que :
- si celui qui les médite est un pécheur, il se convertira;
- s'il est imparfait, il deviendra parfait;
- s'il est saint, il deviendra plus saint;
- s'il est tenté, il trouvera la victoire;
- s'il est souffrant, il trouvera la force, le remède, le réconfort;
et si son âme est faible et pauvre, il trouvera un aliment spirituel et un miroir où il pourra se regarder continuellement pour s'embellir et se rendre semblable à Jésus notre modèle.
Le contentement qu'éprouve Jésus lorsqu'on médite ces Heures est si grand qu'Il voudrait qu'il y en ait au moins une copie dans chaque village ou cité pour qu' on puisse en faire la méditation.
À travers ces méditations, Jésus entend sa propre voix et ses propres prières telles qu'Il les adressait à son Père durant les 24 Heures de sa Passion.
Et si un assez grand nombre d'âmes s'y adonnent dans chaque village ou cité, il semble que Jésus me fait savoir que la Justice divine en sera partiellement
apaisée et, en cette triste époque de calamités et d'effusion de sang, ces fléaux seront partiellement arrêtés.
Faites appel à tous, Révérend Père, et propagez ce petit ouvrage que mon aimable Jésus m'a demandé de rédiger.
Je vous dis aussi que le but de ces écrits n'est pas tant de raconter l'histoire de la Passion de Notre-Seigneur car il y a beaucoup de livres qui traitent de ce sujet et il ne serait pas nécessaire d' en écrire un autre, c’est d'inciter le lecteur à la réparation, ce que nous avons fait en adjoignant aux divers points de la Passion des suggestions à ce sujet.
Par exemple,
- dans certains passages, on bénit Jésus,
- dans d'autres, on compatit avec lui,
- dans d'autres, on le loue,
- dans d'autres on le réconforte,
- dans d'autres on rachète à ses côtés,
- dans d'autres on prie, on demande, on supplie.
Par conséquent, je vous laisse le soin, Révérend Père, de faire connaître le
but de ces écrits dans une préface."
Le feuillet dont il est question plus bas contient quelques passages de Paroles que Notre-Seigneur aurait dites à Luisa.
Par exemple :
"Celui qui pense souvent à ma Passion fait naître dans son cœur comme une source salutaire. Plus l'âme s'applique à réfléchir et à méditer sur ma douloureuse Passion, plus le débit de cette source augmente. Et comme les eaux qui coulent d'une fontaine sont des eaux pour tous, de même cette source de salut, qui se forme dans le cœur de celui qui médite sur ma Passion, sert à ma gloire, au bien personnel de cette âme et au profit de beaucoup d'autres âmes."
À une autre occasion, le Seigneur lui parla ainsi :
"Lorsqu'une âme médite sur la Passion que Je souffris dans mon âme et mon corps avec tant d'amour et de souffrances infinies, et lorsqu'elle s'afflige et compatit avec Moi, cela m'est tellement agréable que Je me sens comme dédommagé de toutes les tortures et les ignominies que J'ai subies, non seulement dans ma Passion,mais à partir du moment de mon Incarnation jusqu' à mon dernier souffle sur la Croix.
L'âme qui médite souvent sur ma Passion me réconforte de diverses façons.
Si, durant ma Passion, on me lia avec des cordes et des chaînes, l'âme qui me considère ainsi attaché et compatit avec Moi, me délie et me rend la liberté.
Si les hommes d'armes me méprisèrent, me crachèrent dessus et me déshonorèrent, l'âme compatissante me donne de l'estime, me lave de ces crachats et m'honore.
Si mes bourreaux me dévêtirent et me flagellèrent, l'âme compatissante me guérit et m'habille.
Si on me couronna d'épines, si on me traita comme un roi de plaisanterie, si on me remplit la bouche de fiel et me crucifia, l'âme qui considère avec compassion toutes ces souffrances, me couronne de gloire, m'honore comme son Roi, me remplit la bouche de douceur, me décloue de la croix et me fait ressusciter dans son cœur.
Et, en échange de sa méditation amoureuse et de sa considération pour mes peines, Je donne à cette âme une vie de grâces renouvelée.
Tandis qu'elle m'attire à elle par la contemplation de mes souffrances et par sa compassion, Je l'attire à Moi et Je me donne à elle comme aliment spirituel.
Tandis qu'elle se nourrit de mes Plaies, de mes Opprobres et des Agonies de mon Cœur, Je me nourris de son âme en l’absorbant en Moi-même dans l' amour. Voilà pourquoi la méditation dévote et fréquente de ma Passion m'est si agréable."
Luisa demanda à Jésus :
"Dis-moi, O mon Bien, que donneras-Tu en échange aux âmes qui méditeront les Heures de ta Passion comme Tu me l'as enseigné?"
Notre-Seigneur répondit :
"Ma fille, ces Heures, Je ne les considérerai pas comme des choses provenant de vous, mais comme si c'était Moi qui les faisais. À ceux qui les méditeront, Je donnerai mes mérites comme si Je souffrais la Passion durant ce temps qu'ils les méditent. Les effets que produisait ma Passion quand Je l'endurais, et qu'elle peut produire à toute époque, seront renouvelés dans les âmes qui méditeront sur ces Heures, selon la qualité de leurs dispositions intérieures. Il n'y a pas de récompense plus grande que celle-là qu'on puisse recevoir en cette vie terrestre. Au Paradis, Je mettrai ces âmes en ma Présence divine, devant ma face, et Je les darderai de flèches d' amour et de contentements éternels et, elles-mêmes, enivrées de mon amour, me répondront en dardant mon Cœur de toute la capacité d'amour qu'aura leur âme dans la béatitude céleste. Ceci constituera un doux enchantement pour tous les bienheureux du Ciel (c'est-à-dire toutes les créatures qui jouissent de la vue parfaite de Dieu)."
Une autre fois, Jésus dit à Luisa :
"Les Heures de ma Passion furent remplies de mes prières, mes réparations et mon amour. Cet exercice pieux de réparation fait dans la méditation de ces Heures est vraiment sorti de mon Cœur. Ah! combien de fois, grâce à ces méditations pratiquées secrètement dans toute mon Église par tant d'âmes qui m'étaient chères, n'ai-je pas changé des fléaux en grâces pour toute la terre! Ces méditations ont un prix incalculable. Si les exercices pieux que tu as pratiqués et que tu as mis par écrit sont pratiqués par d'autres avec amour, mon Amour y trouvera son épanchement et son réconfort. Et sache, O fille, que ce n'est pas peu de choses que la créature donne du soulagement et de l'épanchement à l'Amour de son Créateur."
À un autre moment, Jésus lui dit :
"Le monde est dans l'acte incessant de renouveler ma Passion, comme mon immensité enveloppe toutes les créatures, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, Je suis contraint, au contact de ces créatures,de recevoir les clous. les épines, les fouets, les mépris, les crachats et tout le reste que Je souffris lors de ma Passion, et même davantage. Cependant, quand une âme médite sur les Heures de ma Passion, Je sens qu'on m’ enlève les clous et les épines, qu’on soulage ma souffrance, qu’on nettoie les crachats, qu’on calme la douleur des coups, qu'on oint mes plaies. Je sens se changer en bien le mal que me font les autres. Voyant que le contact spirituel de cette âme qui médite les Heures de ma
Passion m’apporte tant de réconfort, Je m'appuie de plus en plus sur elle.
De plus, celui qui médite sur ces Heures fait siens mes pensées, mes réparations, mes prières, mes affections, les battements les plus intimes de mon Cœur.
Lorsque Je voulus racheter le monde, Je me présentai à mon Père éternel en Lui disant :
"Me voici ô Père, envoie-Moi sur terre pour souffrir et mourir pour les hommes".
De même, l'âme qui, unie à Moi, s'adonne à la méditation des Heures de ma douloureuse Passion et s'identifie à mes Douleurs, à mon Esprit souffrant, en s' élevant presque entre le Ciel et la terre, cette âme s'exclame avec Moi devant mon Père :
"Me voici, ô Seigneur, je veux moi aussi, avec Jésus, réparer pour tous, répondre de tous, souffrir et mourir pour tous."
Luisa se répandait en compassion et en amour envers Jésus souffrant, du Jeudi Saint à 17h jusqu'au Vendredi Saint à 17h, alors que tout se termine par la sépulture de son Corps adorable.
Après avoir mis par écrit ces Heures de la Passion, elle demanda, avec une confiance spéciale que son Époux céleste lui a donnée, si ce petit ouvrage Lui serait agréable et dans quelle mesure.
Jésus lui répondit :
"En échange du fait que tu as écrit ces Heures de ma Passion, pour chaque mot que tu as écrit, Je donnerai un baiser à ton âme et Je t'accorderai une âme."
Et Luisa reprit : "Seigneur, c'est ce que Tu me donneras à moi, mais le donneras-Tu également à quiconque méditera ces Heures?"
"Oui, répondit Notre-Seigneur, à chacun Je donnerai une âme à chaque mot, à condition qu'il les médite uni à Moi et dans ma propre Volonté car l'efficacité de la méditation de ces Heures sera proportionnelle à l'union plus ou moins grande qu'on aura avec Moi. Si l'âme les fait dans ma Volonté, elle se cachera avec moi dans cette Volonté, et quand ma Volonté se met à agir, Je peux faire tout le bien que Je veux, même pour un seul mot, et ce, autant de fois qu'on méditera ainsi."
Luisa raconte ceci :
Une autre fois, j' étais en train de me plaindre auprès de Jésus sur le fait que, après tant de sacrifices à écrire ces Heures de la Passion, il y avait si peu d'âmes qui les méditaient.
Jésus me dit :
"Ne te plains pas, ô fille. Même s'il n'y avait qu'une seule âme qui les méditait, tu devrais être contente. Est-ce que Moi, Je n'aurais pas souffert ma douloureuse Passion et ma mort en Croix même pour une seule âme ? Tu dois agir ainsi toi aussi. Il ne faut jamais omettre le bien parce que peu de personnes en profiteraient. Et comme ma Passion et ma Mort firent acquérir à ma sainte Humanité les mérites comme si tous allaient être sauvés, telle étant ma Volonté et le but de toutes mes souffrances et de ma mort, ainsi toi, selon que ta volonté aura voulu faire du bien à tous dans ma Volonté, tu seras récompensée de ton travail dans cette même proportion.
Tout le mal reviendra à ceux qui ne les mettront pas en pratique, soit à cause de leur nature infirme, soit à la suite de suggestions diaboliques. "
Quant à la Valeur de ces Heures, Notre-Seigneur a parlé ainsi :
"Ces Heures sont précieuses, préférables à bien d'autres exercices. Car cette méditation n'est rien d'autre qu'un renouvellement et une augmentation continus des mérites de tout ce que J'ai fait et souffert au cours de ma vie mortelle, et de ce que j'ai fait et que je fais continuellement dans ma sainte Eucharistie.
Quand Je vois une âme méditer ces Heures, J'entends ma propre voix, mes propres prières, Je vois ma propre Volonté en cette âme, c'est-à-dire la volonté de vouloir le bien de tous et de réparer pour tous, et Je me sens attiré à demeurer en cette âme."
Notre-Seigneur donna aussi à Luisa ces paroles expressives qui résonnèrent
au plus profond de son âme contemplative :
"Oh ! combien J’aimerais que dans chaque cité ou village il se trouve, ne fût ce qu'une âme, qui s'applique à méditer ces Heures de ma Passion !
Alors, Je m'entendrais Moi-même dans chaque cité ou village.
Et ma justice qui en cette époque, est très indignée, serait en partie apaisée !"