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Date de création : 01.01.2019
Dernière mise à jour :
05.10.2025
829 articles
JE SUIS LE MENDIANT DU PAYS 2 mai 1962
J’apportai au Père X les communications écrites. On me reçut avec la nouvelle que le Père X était malade, qu’il avait dû subir une grave opération et qu’on ne pouvait pas lui parler… Mon cœur se remplit de tristesse, et je pensais que la Flamme d’Amour de la Sainte Vierge souffrirait un nouveau retard…
Le Seigneur Jésus me dit :
Sa voix était si suppliante que mon cœur brûlait d’ardeur pour Lui … Le lendemain, je sentis une telle angoisse que jusqu’à mes forces physiques s’en ressentaient grandement. Le Seigneur me dit :
Une autre fois, je marchais dans la rue, il était midi. Soudainement, le Seigneur commença à me parler. Il se plaignait avec tristesse et me demanda d’écrire ses paroles :
SACRIFICE – ORAISON
En une certaine occasion, tandis que Je l’adorais, le Seigneur Jésus me parla ainsi :
Le 2 mai 1962, la sœur assignée pour m’accompagner me demanda quelle différence j’ai ressentie quand, à la place du Seigneur, ce fut mon ange gardien qui me réveilla ? Sur le moment, je n’ai pu lui donner de réponse. Maintenant que le Seigneur ne me fait plus entendre son aimable voix, ma conversation avec Lui s’est changée en un monologue.
PETITES ETINCELLES, CREATURES DE DIEU
Etant ainsi agenouillée silencieusement devant le Seigneur, une grande splendeur, que je ne pouvais embrasser du regard, se mit à briller devant mes yeux spirituels. Cette grande lumière semblait une lumière vive qui étincelait et projetait de minuscules particules brillantes dans toutes les directions. Ces particules étaient plus petites qu’un grain de poussière, cependant même les plus petites brillaient d’un admirable éclat. Alors que j’étais à contempler tout cela, le Seigneur me permit de comprendre pourquoi je n’avais pas trouvé de mots adéquats pour l’exprimer. Les minuscules particules, d’un éclat merveilleux, ont éveillé en moi la sensation qu’il s’agissait de créatures de Dieu. Ce jour-là, c’était mardi et je commençais à faire des communions spirituelles pour mes enfants. Je les ai confiés à l’attention de la Sainte Vierge. Mais des communions spirituelles, je n’ai pu en faire aucune encore. Depuis que le Seigneur m’a privée non seulement de ses paroles mais aussi de sentir sa présence, une grande sécheresse épuisait mon âme. J’étais agenouillée dans une immobilité silencieuse. Je me souviens des paroles du Seigneur :
ORAISON COMMUNAUTAIRE
En évoquant ces paroles du Seigneur, au milieu de la sécheresse spirituelle, j’ai senti une grande tranquillité en mon âme. Tandis que j’étais ainsi agenouillée sans prononcer un seul mot, en cet après-midi de mai, le chant des litanies de louange de la Très Sainte Vierge a retenti. Jamais j’ai senti comme cette fois-là à quel point l’oraison communautaire peut élever l’âme à une admirable ferveur.
TENTATION DU MALIN
Je demeurais en un pieux silence. C’est en vain que j’essayais de prier, j’étais incapable de le faire. A la place, le malin commença à torturer mon âme. Je ne parvenais absolument pas à libérer mes pensées de son influence. D’abord, il suscita une grande peur en moi. C’était une sensation si terrible, comme s’il avait voulu prendre possession de moi, mais que quelque chose l’en empêchait …
Durant un moment, je restais là agenouillée, l’esprit embrouillé. Je pensais que, avant que le malin prenne possession de moi, j’allais accourir auprès du prêtre pour qu’il prie pour moi. Je vis le Père E qui traversait l’église et en sortait, mais je n’avais pas la force de le suivre. Après le départ du Père, je ne pouvais faire le moindre mouvement ; sans cesse m’étreignait la pensée que j’étais une possédée et que je n’avais rien à faire dans l’église. Le démon m’ordonna de sortir de l’église, mais je restais là encore longtemps. En cette circonstance, je ne savais pas comment j’allais pouvoir me libérer du malin.
En sortant de l’église, le malin m’accompagna et sous une forme tout à fait humaine, commença à me parler :
J’ai été contente en arrivant à la porte de la maison, mes petits-enfants m’attendaient et se sont amusés à me faire des petits compliments.Ça a mis fin aux ennuis du malin.
Après avoir collationné, je m’en allais à mon nouveau domicile. Même là, le malin ne m’a pas lâchée et il continuait à m’ennuyer. Il se jeta de nouveau sur moi. J’essayais de le repousser de toutes mes forces. Je me mis à méditer avec une grande ferveur. Mais une telle perturbation m’amena à me poser des questions. C’est en vain que je fis un examen de conscience. Je n’y trouvais aucune explication. Je songeais qu’avant de faire le moindre geste en faveur de cette Cause, il vaudrait mieux pour moi y penser à deux fois. Cet orgueil chez moi que le malin avait étalé devant mes yeux me fît m’arrêter tout à coup. C’est au milieu de grandes angoisses que je m’en allais me reposer. Toute aide du Ciel s’interrompit et seule la sombre inquiétude de la nuit tomba sur moi. Comme ce serait bon d’entendre la voix paisible du Seigneur ! Que dirait-Il de tout ça ? Ces jours-là, j’eus de nombreuses graves tentations. Le malin, avec toutes ses astuces, a voulu me dépouiller de ma qualité d’être humain.
POUR RECEVOIR DE GRANDES GRACES, LE SEIGNEUR PREPARE NOTRE AME PAR DES SOUFFRANCES
4 mai 1962
La Sainte Vierge commença à parler :
Et maintenant, il te faut propager ma Cause.Ceux que j’ai choisis, qu’ils aient pleine confiance en Moi.Comme une Mère attentive, je dirige tous leurs pas.Je demande seulement qu’ils rendent leurs âmes aptes et qu’ils se préparent avec une grande ferveur à l’œuvre de réparation.
Je regarde avec tristesse l’alarme qu’éveille en vous ma Flamme d’Amour.Pourquoi avez-vous peur en votre cœur ?Comment pourrais-je, Moi qui suis votre Mère très aimante, vous laisser dans le doute ?Unissez-vous de toutes vos forces et préparez vos âmes à accueillir la Flamme sacrée. Dans les sanctuaires, les pèlerins se monteront disposés à l’accueillir.Moi, la Mère de la Grâce, je supplie sans cesse mon Divin Fils d’accueillir le moindre effort et de l’associer à vos mérites. N’ayez pas peur de la Flamme qui va s’allumer soudainement, paisible comme une douce lumière, elle n’éveillera de méfiance en personne.Voilà le miracle qui se produira en vos cœurs.
FETE DE LA CHANDELEUR
La Très Sainte Vierge Marie :
Au fond de mon cœur, j’entendis la douce réponse de la Sainte Vierge qui me rassura pleinement :
Entre le 3 et le 11 mai 1962, la Sainte Vierge me demanda quatre fois de ne pas négliger sa mission.
ANNONCE MA MISERICORDE, SACRIFIE-TOI
Paroles du Sauveur :
La veillée d’adoration nocturne s’avéra très difficile pour moi ; il m’en coûte énormément de m’éveiller. J’ai demandé à la Sainte Vierge : Je t’en supplie, o ma Mère, réveille-moi ! Quand c’est l’ange gardien qui me réveille, il ne me fait pas assez d’effet.
La nuit suivante, ce fut la Sainte Vierge qui me réveilla. Je voulais me lever et m’habiller en croyant qu’était arrivé le temps de la veillée d’adoration, et il ne me paraissait pas respectueux de parler avec la Sainte Vierge en étant couchée. Mais l’heure de commencer la vigile, à deux heures du matin, n’était pas encore arrivée, il était seulement minuit. La Sainte Vierge me parla ainsi :
OFFRE TES VEILLEES D’ADORATION NOCTURNE POUR LA JEUNESSE ET L’ENFANCE
Aujourd’hui, c’est encore le Seigneur Jésus qui me parle :
Et le doux Rédempteur me pria de réciter avec Lui cette prière qui exprime ses désirs les plus ardents :
« Que nos pieds cheminent ensemble
Que nos mains moissonnent unies
Que nos cœurs battent à l’unisson
Que notre intérieur ressente la même chose
Que la pensée de nos esprits soit une
Que nos oreilles écoutent ensemble le silence
Que nos regards se compénètrent profondément
En se fondant l’un dans l’autre
Et que nos lèvres supplient ensemble
Le Père Eternel, pour obtenir miséricorde. »
Cette prière, je la fis entièrement mienne. Lui la médita tant de fois avec moi, certifiant que ce sont-là ses éternels désirs. Il m’enseigna cette prière afin que moi je l’enseigne aux autres. Faisons nôtres ses éternelles pensées, ses ardents désirs, de toutes nos forces et de tout notre esprit.
Le Sauveur, après avoir demandé cela, ajouta encore :
AIDEZ ! J’AI BESOIN DE VOTRE EFFORT 14 mai 1962
Aujourd’hui, c’est encore une fois la Sainte Vierge qui m’a réveillée. Cette fois, je suis restée en position de repos.
PARLE A MES ENFANTS, ILS SERONT MES AMBASSADEURS. RENONCE A TOI-MEME
17 mai 1962
Durant ma prière du matin, la Sainte Vierge m’a parlé ; et aussi durant la sainte Messe, elle se plaignait sans arrêt, sur un ton très triste. Elle souffrait, comme si elle se tordait les mains, et suppliait :
Et suppliante, elle ne cessait d’implorer. La douleur de son cœur se communiquait au mien. Moi-même je me débattais impuissante, ma prière s’étouffait dans les larmes. Maintenant, à écrire ces lignes, la douleur me serre encore le cœur. Il me faut interrompre l’écriture à cause des larmes. O ma Mère, que puis-je faire ?
Le même jour, le Seigneur Jésus aussi me parla au fond de mon cœur, dans le grand silence de mon âme. Sa voix était quasi imperceptible, semblable à un soupir :
Et avec un doux soupir, Il me dit seulement :
REVE 23 mai 1962
Tôt le matin, j’avais hâte d’arriver auprès du Seigneur pour le remercier de la force dont Il m’avait comblée pour la veillée d’adoration nocturne. Il était très ému, et je pouvais à peine supporter le battement de son Cœur. Il résonnait en mon cœur avec une douceur que jamais auparavant je n’avais ressentie.
« Seigneur, je ne suis pas digne de ce que Tu fais en moi. Moi je tâcherais de toutes mes forces de Te montrer ma reconnaissance d’une façon ou d’une autre pour ta bonté. » Lui continuait à me faire sentir son extraordinaire charité.
Je n’ai pas écrit le rêve que j’ai fait, je ne voulais pas le décrire, mais Lui se plaça à mon côté et me dit :
Du 16 au 17 mai, j’ai fait ce rêve. Je n’ai presque pas l’habitude de rêver et, si cela arrive, en me réveillant, j’oublie tout ce dont j’ai rêvé. Mais ce rêve, non seulement je ne l’ai pas oublié, mais je l’avais présent avec une plus grande vivacité après le réveil : j’ai vu un grand disque noir, avec des nuages gris autour, qui tourbillonnaient. A côté du disque, j’ai vu des hommes à l’apparence étrange. Ils étaient tout à fait décharnés, presque sans corps, en vêtements gris. Je n’ai pas vu leurs visages, seulement leurs nuques. Soudain, j’ai senti que c’était des diables et précisément les pires. Quand je regardais le disque, juste au même moment ils achevaient de faire une plaque de fer. Avec celle-ci, ils couvrirent le disque, qui jusqu’à l’instant d’avant était pleinement visible. Quand ils l’eurent recouvert avec cette plaque de fer, ils l’observèrent minutieusement, et par un autre grand sourire moqueur, ils exprimaient leur satisfaction pour le travail effectué. A la droite, il y avait des nuages blancs, et je sentis que quelqu’un les avait regardés. Je ne sais pas qui ça pouvait être, mais j’avais la sensation qu’il n’avait pas de mauvaises intentions. A leurs pieds, je voyais trois garçons. Je ne sais qui ils étaient, mais j’ai eu l’impression qu’ils étaient ennemis du malin parce qu’en contemplant le disque noir, ils conféraient entre eux sur la manière de s’y prendre pour l’enlever. Entre temps, un de ceux du côté gauche, celui qui était le plus près de ceux de la droite, se tourna vers un de ceux-ci et dit avec un terrible sarcasme, comme quelqu’un qui est sûr de son ouvrage : Vous pouvez bien le regarder ! On l’a fait parfait ! Et il ajouta encore : Vous allez bien avoir des maux de têtes avec tout ça !
Dans ce rêve, moi aussi j’observais très bien le disque et je ne sais si les personnes de la droite s’en étaient rendues compte, mais en regardant je pensais comment le disque pouvait être libéré de la plaque obscure. Je me rendis compte que sur le bord, il y avait une minuscule fissure transparente. En prêtant attention à ça, je sentis un grand un grand soulagement. Je me décidais à parler aux autres et à leur dire que tout n’était pas perdu. Mettons-nous sans tarder à enlever la plaque noire parce que j’ai le pressentiment que nous réussirons. Je me réveillais.
Par la suite, en réfléchissant profondément à la scène vue en rêve, je ne compris pas ce que cela signifiait, mais je restais avec l’idée que même s’il fallait beaucoup de travail, on allait trouver la manière de rendre le disque obscur de nouveau transparent.
DOUCE COMPAGNIE ET SAGES CONSEILS Mai 1962
Depuis que le Seigneur Jésus ne m’adresse plus ses douces et bonnes paroles,, le silence règne entre nous, ou pour mieux dire, la conversation n’est qu’un monologue.
Un jour, mes enfants m’envoyèrent faire les commissions … Terminant le déjeuner, je me mis en route et en sortant par la porte de la rue, je repassais ce que je devais acheter. A ce moment, Lui m’adressa ces paroles :
Il s’approcha avec une si indicible et si délicate attention que je ne pus retenir mes larmes. Je Lui chuchotais ces paroles, qui, je le sais, Lui plaisent le plus : « Avec quelle soif insatiable je Te désire. » Entre temps, nous avançons en silence sans d’autre parole. Emue par sa délicatesse sans limite, je dis :« Pourvu que je puisse moi aussi m’approcher de Toi, mon Jésus adoré ! » Avec ce désir, j’arrivais à l’endroit de mes achats. Là, Il se retira.Ça m’a tellement fait mal ! Lui, l’Homme-Dieu, se comporte avec une si indicible tendresse et une telle compréhension avec moi. Au retour vers la maison, Il s’adressa encore à moi :
Maintenant qu’Il s’est adressé à moi après si longtemps, une grande allégresse remplit mon âme. La sécheresse spirituelle avait duré longtemps, ma misère me tenait écrasée au sol. Je l’acceptais de bon cœur parce que Lui-même m’avait dit qu’Il me l’envoyait pour le bien de mon âme.
Un jour, dès les petites heures du matin, le Seigneur Jésus commença à se plaindre avec grande tristesse :
Entre-temps, il m’inonda de son amour infini. Il continua encore à me parler :
INTERPRETATION DU REVE
Ce matin, le seigneur m’a dit beaucoup de choses de plus, et aussi il posa quelques questions. Je le regardais avec surprise parce qu’Il posait aussi des questions sur mon rêve de la veille, et Il dit diverses choses :
Il ne me dit pas de qui il s’agissait, et il ne m’est pas venu à l’idée non plus de le demander. Entre-temps, le Seigneur passa la parole à la Sainte Vierge. Il le fit avec tant de respect et de dévotion que le cœur me battait fortement en écoutant ça. A ce moment, la Sainte Vierge répétait les paroles dites précédemment par le Seigneur, concernant son fils bien-aimé. Après, de nouveau, le Seigneur Jésus prit la parole :
SOURCE : LES EDITIONS DU PARVIS